<IDENT domi> <IDENT_AUTEURS fromentine> <IDENT_COPISTES surcoufj> <ARCHIVE http://www.abu.org/> <VERSION 3> <DROITS 0> <TITRE Dominique> <GENRE prose> <AUTEUR Eugène Fromentin> <COPISTE Joel Surcouf> <NOTESPROD> TRANSCRIPTION ETABLIE LE : 23 octobre 1994 D'APRES L'EDITION : Gründ, "Collection Gründ illustrée" (sans date : années 1930 ?) Parmi les plus récentes éditions de ce texte, celle que Pierre Barberis a donnée en 1987 pour la collection de poche Garnier-Flammarion semble la plus accessible. Quant à l'édition utilisée ici, elle contient de nombreuses fautes, qui ne sont pas seulement des coquilles. Les plus évidentes ont été corrigées : par exemple, "délectable" au lieu de "détestable" (!). J'ai gardé certains archaïsmes : "très-*" (exemple : "très-petite"), "remercîment", "résolûment", etc. Mais j'en ai modernisé d'autres : "collége", "piége", "fléche", "complétement", "au delà" (sans trait d'union), etc. La ponctuation de l'édition Gründ n'est pas non plus sans reproche. Elle a cependant été respectée, à quelques exceptions près. A ce sujet, on remarquera que Fromentin utilise fréquemment le tiret. Grévisse ("Le bon usage", 10e édition, 1975, 1070) cite cette réflexion de François Mauriac (dans "Le Figaro littéraire," 30 janvier 1960) : "Je le note ici en passant, certains se sont étonnés souvent, chez mes éditeurs, de cette manie que j'ai de couper mes phrases par un tiret suivi d'une virgule. En vérité, je le dois à Fromentin, au Fromentin de ce passage-là [dans le chapitre III de "Dominique" : "... pendant ces longues nuits, où je dormais peu, où la lune éclairait, où la pluie quelquefois tombait, paisible, chaude et sans bruit, comme des pleurs de joie --, pour mes délices et pour mon tourment, toute la nuit les rossignols chantaient."] : le tiret qui vient ici après "joie" marque un temps qui est entré à jamais dans ma propre musique..." </NOTESPROD>